À la découverte de Montréal et «Les Fourmis» de Bernard Werber
Vanessa comme chaque vendredi, on part hors de France avec un bon plan ce matin on s’envole pour Montréal.
Là vous vous dites Montréal, un bon plan à 6000 kilomètres ? Ça vous coute autant qu’un trip en Europe, les billets sont hyper accessibles. Faut prendre vos billets avec Air Transat, les vols les moins chers, mais avec un standing quali. Elle a été élue meilleure compagnie aérienne loisirs au monde. Pas mal de promotions. Des vols depuis huit villes en France : exemple départ de Paris ou Toulouse en août ou septembre à partir de 338 euros. Autre raison : un autre continent, hyper dépaysant. Et L’été c’est ultra sympa. La saison des festivals, pas mal sont gratuits et en plein air : la liste est longue. Je vous donne quelques coups de cœur : l’international des Feux Loto Quebec. Une compétition de feux d’artifices, au rythme d’Abba, Elton John ou Coldplay . Le lasso Montreal, un festival de country, l’électro et le classique sont mis à l’honneur aussi. Et puis, il y a aussi des festivals culinaires comme Le taco fest.
Ça bouge et ses festif, tout ça en plein air ! C’est un poumon d’oxygène et de nature en plus Montréal, non ?
Quatre fois plus grande que Paris mais sept fois moins dense, la nature fait corps avec la ville. La preuve : La tour Eiffel des Montréalais c’est un parc, « leur Montagne », le Mont royal. Il a été paysagé par le père de Central Park à New York. Idéal pour randonner. Et de là-haut vous voyez la nature faufiler à travers les rues. Et alors ces quartiers je vous conseille de les découvrir avec une sortie Murale en vélo électrique pour découvrir Les murs peints de la Ville. La ville du street Art. Des fresques, il n’y en a pas loin de 500. Des graffs qui racontent Montréal comme par exemple les deux à l’effigie de Leonard Cohen qui est né ici. Ils recouvrent chacun un immeuble. Des Murs gigantesques qui contrastent avec les petites maisons de couleurs. Hyper dépaysant.
Sympa mais il n’y a pas la plage à Montréal.
Et bien si ! en bordure du st Laurent, et souvent en un coup de métro : mes deux spots à moi : la plage de Verdun, et la plage Jean Doré : dans le parc Jean Drapeau sur l’ile Notre dame L’eau du lac est calme. Vous pouvez louer un kayak, un pédalo, une planche… Il y a des transats, des ballons de volley-ball au milieu des canards et des hérons.
Une adresse pour dormir ?
ITHQ, une institution hôtelière et gastronomique : c’est un hôtel école. Ultra bien situé à Sherbrooke. On a vue sur le Mont Royal. On est déjà sur le plateau.
Fiche Pratique
Compagnie aérienne : Air transat : www.airtransat.com
Vols directs depuis Paris et la Province
Pour plus de confort Option Plus : https://www.airtransat.com/fr-FR/vol-canada/confort-a-bord/option-plus
Office du tourisme de Montréal : www.mtl.org
City trip dans les couleurs d’automne
City trip pour les festivals d’hiver
Visite sur les traces du Street Art :
Les murales de Montréal avec Fitz Montréal. www.fitzmontreal.com
Le spa-sur-l’eau :
Le Spa Bota-Bota : www.botabota.ca
Hébergement :
L’Hôtel de l’ITHQ : www.ithq.qc.ca/hotel-de-lithq
Nicolas, c’est roman culte, un livre au ras du sol.
Je l’ai lu il y a 30 ans, maintenant, et je n’ai jamais plus regardé la vie de la même manière. Enfin, la vie des fourmis, en fait. Le livre de poche publie une version cartonnée collector du premier roman de Bernard Werber. Les Fourmis. C’était en 1991.
Un livre dont le héros est une fourmi donc.
327ème, oui. Mais il y a aussi 103 683ème, une fourmi soldate. Et il y a aussi des humains, Jonathan Wells, qui hérite de son oncle Edmond, un grand biologiste, spécialiste des fourmis. On suit les deux histoires : celle des humains, et celle de la fourmilière, pas très loin. Bien entendu, les fils finissent par se nouer. L’oncle de Jonathan lui avait interdit de descendre dans la cave de sa maison. Evidemment, il va désobéir. Et il ne remonte pas de la cave. Mystère, mystère… il y a aussi des fils rouges, qui courent tout au long du roman : une énigme. Comment faire quatre triangles équilatéraux avec six allumettes ? Essayez. La clé, c’est de penser autrement. Et puis, il y a des articles de l’encyclopédie du savoir relatif et absolu, rédigé par Edmond Wells, et qui reviendra ensuite dans toute l’œuvre de Bernard Werber.
On apprend toujours plein de choses en le lisant. Rien que sur la quatrième de couv, il était écrit : « Le temps que vous lisiez ces lignes, sept cents millions de fourmis seront nées sur la planète. Sept cents millions d'individus dans une communauté estimée à un milliard de milliards, et qui a ses villes, sa hiérarchie, ses colonies, son langage, sa production industrielle, ses esclaves, ses mercenaires... Ses armes aussi. Terriblement destructrices. » Ce livre a marqué toute une génération. Enorme succès, mais pas tout de suite. Il est arrivé très doucement. Dans des proportions considérables. Werber est une star en Corée et en Russie, par exemple. Et il publie chaque année un nouveau roman.
En attendant, on peut lire Les fourmis au livre de poche.
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